Modèle : l'organisation du cursus en degré entraîne la conception que la réussite et l'échec sont imputables à l'élève lui-même et non à un rapport entre l'élève et l'école.
Les politiques publiques tendent à considérer que l'échec tient à des carences propres à l'élève.
La réduction du taux d'échec lors de l'assouplissement du cursus normé permet de valider le modèle.